Petite histoire de Sôcisse

« C’était vraiment une belle journée d’été, me raconte Charly ; je me souviens que Marseille bruissait de cigales et rayonnait de lumière. Nous étions à table, au jardin, avec nos amis, comme nous le faisions souvent dans cette belle famille arménienne où j’ai la chance d’être né. Jacques, mon père, faisait griller de belles côstentelles tout en buvant son pastis du dimanche. C’est à ce moment-là, que me lançant un clin d’œil, il dit :

« On a la Saucisse de Toulouse, l’Italienne, celle de Morteau, et pourquoi, nous, on n’aurait pas la Saucisse de Marseille ? Comme si nous, à Marseille, on était plus couillons que les autres ! ».

J’étais petit à l’époque, mais pas sourd. L’idée ayant fait son chemin, vers 15 ans, dans la boucherie paternelle, je tentais, pour épater mon père, ma première Saucisse aromatisée au pastis… Quelques essais et quelques échecs plus tard, je m’adressai à Gilles, patron des Epices Rabelais, qui me conseilla de remonter aux sources du goût.

C’est ainsi que la badiane et le fenouil conférèrent à la sôcisse de Marseille sa généreuse personnalité...

Une belle aventure naissait et qui dit belle aventure dit Ami pour la partager. L’Ami, c’est Marcel, boucher-charcutier-traiteur de son état, prêt à devenir avec moi : «Grand Aventurier du Goût, Inventeur de la sôcisse de Marseille». Le plus difficile étant de doser, d’ajuster, de trouver l’équilibre idéal, ce fut une longue mais belle saison passée dans le parfum des épices, enfermés tour à tour dans l’atelier de Marcel ou dans le mien. Après une période délicate, mais essentielle, afin d’obtenir la conjugaison subtile des saveurs, nous atteignîmes, à la fin de l’été 2011, le but recherché : l’équilibre parfait, celui qui donne envie de déguster, encore et encore, sans jamais se lasser.

La Socisse de Marseille

Petite histoire de Sôcisse

« C’était vraiment une belle journée d’été, me raconte Charly ; je me souviens que Marseille bruissait de cigales et rayonnait de lumière. Nous étions à table, au jardin, avec nos amis, comme nous le faisions souvent dans cette belle famille arménienne où j’ai la chance d’être né. Jacques, mon père, faisait griller de belles côstentelles tout en buvant son pastis du dimanche. C’est à ce moment-là, que me lançant un clin d’œil, il dit :

« On a la Saucisse de Toulouse, l’Italienne, celle de Morteau, et pourquoi, nous, on n’aurait pas la Saucisse de Marseille ! Comme si nous, à Marseille, on était plus couillons que les autres ! »

J’étais petit à l’époque, mais pas sourd. L’idée ayant fait son chemin, vers 15 ans, dans la boucherie paternelle, je tentais, pour épater mon père, ma première Saucisse aromatisée au pastis… Quelques essais et quelques échecs plus tard, je m’adressai à Gilles, patron des Epices Rabelais, qui me conseilla de remonter aux sources du goût.

C’est ainsi que la badiane et le fenouil conférèrent à la sôcisse de Marseille sa généreuse personnalité...

Une belle aventure naissait et qui dit belle aventure dit Ami pour la partager. L’Ami, c’est Marcel, boucher-charcutier-traiteur de son état, prêt à devenir avec moi : «Grand Aventurier du Goût, Inventeur de la sôcisse de Marseille». Le plus difficile étant de doser, d’ajuster, de trouver l’équilibre idéal, ce fut une longue mais belle saison passée dans le parfum des épices, enfermés tour à tour dans l’atelier de Marcel ou dans le mien. Après une période délicate, mais essentielle, afin d’obtenir la conjugaison subtile des saveurs, nous atteignîmes, à la fin de l’été 2011, le but recherché : l’équilibre parfait, celui qui donne envie de déguster, encore et encore, sans jamais se lasser.

La Socisse de Marseille
Marcel Rei

Marcel Rei

Fils et petit fils de commerçants en bestiaux originaire d’Algérie. Il fait son apprentissage à la boucherie Larovère à Marseille en 1972. En 2000, il crée son propre commerce de boucherie charcuterie traiteur FOCH 2000, tout en poursuivant sa formation de charcutier au CEPROC à Paris. Ami de Charly depuis 40 ans et son associé aujourd’hui.

Charles Assirlikian

Charles Assirlikian

Son père, « Monsieur Jacques », lui souffle l’idée d’une saucisse de Marseille à l’âge de 4 ans. Fils et petit fils de bouchers, il embrasse le métier en 1980 et décide de concrétiser l’idée de son père en 2011 en sollicitant la complicité et le savoir-faire de son ami Marcel. Ils sont aujourd’hui associés pour le meilleur et… pour le meilleur !

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Charles Assirlikian 
06 70 31 30 65

Marcel Rei 

06 60 44 26 32

contact@lasocissedemarseille.com

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Philosophie

« On a la Saucisse de Toulouse, l’Italienne, celle de Morteau, et pourquoi, nous, on n’aurait pas la Saucisse de Marseille ! Comme si nous, à Marseille, on était plus couillons  que les autres ! »

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